Si si, le propos c'est la course au scoop. Autrement dit : "quand on a l'occasion d'entendre une info en interne, on la publie ou pas ?".
Il semble que la question ne se pose plus, Free choisit pour vous.
Sachant que si on le fait, c'est bien c'est cool on gagne quelques jours/mois sur les autres, mais on ne pourra plus vous filer d'infos à l'avenir.
Et pour moi, la vie privée n'a rien à voir là-dedans ; c'est un traitement irrespectueux de l'info, ni plus, ni moins, d'où mon rapprochement avec la presse poubelle. Ca ne s'appelle pas "faire la communication de l'entreprise" (ça le saurait si on copiait-collait des dossiers de presse). Il semble te manquer quelques notions pour tout bien comprendre.
Jusqu'à présent, vous êtes le seul à parler dans toutes vos réponses de chasse au scoop ou d'information poubelle. On se demande bien pourquoi vous vous évertuez à parler de cela, alors que ce n'est pas le sujet.
Mais c'est certainement parce qu'
Il semble (me) manquer quelques notions pour tout bien comprendre.
(SIC)
La seule question que je soulève est :
Peut-on prétendre représenter et informer les clients d'une société en acceptant de participer à une réunion avec des contre-parties et des conditions ?
Puisque vous parlez d'éthique, posez-vous donc la question de savoir, s'il fallait rester ou partir, dès lors que l'on vous imposait cette règle.
Voilà un bon sujet de débat à avoir avec les autres associations communautaires, plutôt que de nous parler de respect des sources, de rapport de confiance, de donnant donnant, d'éthique et de déontologie pour justifier d'avoir cédé platement à ce qui n'est autre qu'un chantage dans le cadre d'un plan Com.