En réponse à Isa.J'en crois pas mes yeux
En lisant la douce histoire de Menton, j'étais presqu'au paradis. Je m'imaginais, Isa et moi, tels Eve et Adam, la main dans la main, courant le long de la baie de Garavan, les cheveux dans le vent, le soleil au levant, chantant et rêvant, l'esprit insouciant...Et puis, l'horizon s'est soudain obscurcit...De gros nuages sont entrés dans ces cieux trop purs et si clairs...Une autre image est apparue: Cruella ! Mon univers a basculé, j'ai commencé à perdre l'équilibre, je vascillais...La dure réalité de la vie m'a envahi et j'ai compris: Menton avait un sport local, le lancé de vieillards ! Et Isa en était la grande prêtresse, presque un arbitre...
Comme c'est dur de revenir sur terre quand l'histoire est si belle...
