Free (pour certains envers et contre tout) poursuit son bonhomme de chemin, avec (encore! diront les mêmes...) une certaine réussite.
Un truc qui me rappelle l'arrivée de Free sur le fixe avec son triple play, qui ne "pouvait durer" selon certains "spécialistes"...
Un des principaux défauts franchouillards est de confondre entreprise "respectable" et entreprise "rentable". C'est oublier que le monde des affaires et de l'entreprise est tout sauf un monde de Bisounours. Hélas, en affaires, tous les coups sont (presque) permis! Et il s'est toujours vérifié une chose: Dans le monde de l'entreprise, s'il n'y pas rigueur de gestion, la pérennité de l'entreprise est menacée!
Et il semble qu'hélas certains dirigeants d'entreprise télécoms ne se sont pas imprégnés de cette maxime en voulant jouer à "celui qui avait la plus grosse", et les faits ont démontré que ce n'étaient pas les derniers arrivés dans ce petit monde qui ont fauté!
Sur le dernier point du feuilleton Bouygues, il n'est pas impossible que les gesticulations financières actuelles aient d'abord comme cible de rendre la prétendante ByT "présentable", en tous cas plus attirante que ce que les analystes financiers semblent l'estimer. En effet, se faire "estimer" 6 Milliards d'Euros par Orange apparaît plus "fun" que les 4,4 Milliards des analystes. Le problème est de savoir si Orange pourrait réellement finaliser l'opération, sans encourir les foudres de diverses autorités, hexagonales ou européennes, auquel cas, le mariage ou l'absorption deviendrait impossible, avec retour à la case départ, encore plus douloureux pour ByT...
Un certain X.Niel serait alors à l'affût au coin du bois...