Freenews

Sous le coup d'une plainte pour ?concurrence déloyale? déposée par Free Mobile, SFR défend son modèle de mobiles subventionnés, mis en cause par le nouvel entrant...

Lire l'intégralité de la news

loudwig

Citer
« Le produit vendu [le téléphone, NDLR] reste la propriété de SFR jusqu’au paiement intégral de son prix »
Pour moi ça veut dire ce que ça veut dire ::)
De plus, on ne le connait pas à l'avance le montant de ce paiement intégral!!!
Bref, SFR sait s'y prendre pour enfumer ses clients...

Slaash

Pour moi ça veut dire ce que ça veut dire ::)
De plus, on ne le connait pas à l'avance le montant de ce paiement intégral!!!
Bref, SFR sait s'y prendre pour enfumer ses clients...
Oui pour moi aussi ça veut dire ce que ça veut dire : dès que tu as payé ton téléphone à la souscription, lors de ton renouvellement de matériel ou à la dernière facture, ton mobile t'appartient.
Son prix est clairement affiché à côté du mobile dans les catalogues ou vitrines.

Intégral ne veut pas dire "prix du mobile avant subvention de l'opérateur".

Cette plainte va tomber à l'eau si elle tient uniquement sur cette phrase...
« Modifié: 19 September 2012 19:35:08 par Slaash »

Kitano

-Message troptrollesque, autosupprimé, mais cité donc consultable plus loin-
Mea culpa.
« Modifié: 20 September 2012 13:10:03 par Kitano »


Slaash

Ce que tu dis veut dire ce que ça veut dire: rien! ^-^
Payment=compatibilité avec le prix sur l'étiquette.
Payment intégral=pas compatible.
Troll ou fanboy ? :-\

Yoann Ferret

Ce que tu dis veut dire ce que ça veut dire: rien! ^-^
Payment=compatibilité avec le prix sur l'étiquette.
Payment intégral=pas compatible. Prix étiquette et en suce, heu sus, réalisation de la durée d'engagement.
C'est comme un strip-tease intégral, tu n'as fini que quand tu te retrouves vraiment à poil. Merci SFR.
Merci aussi SFR de se justifier sur ses marges délirantes, là où sa raison d'être sur le marché était de faire concurrence à l'ancien monopole.
SFR pourrait aussi se justifier de continuer à pratiquer ces marges, de délocaliser sa hotline, d'avoir une box naze, de n'avoir jamais rien fait d'autre que de copier à distance le leader free.
SFR pourrait se justifier de n'avoir aucune stratégie, les rachats successifs n'ayant rien apporté côté PDM, l'entrée amicale de Bouygues sur le secteur fixe, au mépris de ses propres actionnaires: trahison.
N'êtes-vous pas tout puissants, le cul bordé de nouilles, malgré les échecs de vos malversations successives?
On va te demander de :
- faire un effort sur l'orthographe et la lisibilité générale de tes propos, qui frisent l'incompéhensible
- garder une certaine tenue même par rapport aux "vilains concurrents pas gentils de Free", notamment en évitant la diffamation.

Merci.

mwarf

Le client est bien propriétaire de son téléphone, une fois passée cette période de 30 jours, insiste l’opérateur.
Lire l'intégralité de la news

Modulo le simlockage du téléphone qui l'empêche de l'utiliser comme il veut, ou alors en payant pour le débloquer pendant les six premiers mois...


PoilàGratter

Modulo le simlockage du téléphone qui l'empêche de l'utiliser comme il veut, ou alors en payant pour le débloquer pendant les six premiers mois...

La loi a changé: c'est désormais 3 mois.
Cependant, comme vous l'indiquez, c'est possible dès le premier jour, mais payant.
« Modifié: 20 September 2012 09:35:39 par PoilàGratter »

Patoun

La loi a changé: c'est désormais 3 mois.
Cependant, comme vous l'indiquez, c'est possible dès le premier jour, mais payant.

Et donc si on résume ... le client est propriétaire du téléphone ... c'est juste qu'il ne peut pas en faire ce qu'il veut ^^.
Et surtout pas partir à la concurrence ... avec.

Juste 2 réflexions.

1) Je doute très fortement que Free se soit lancé dans une procédure longue et couteuse si cela n'était pas pour aboutir à quelque chose de concret. Même si cette chose n'est pas au final la condamnation de SFR. Mais plutôt l'interdiction de la pratique.

2) Quoi qu'on en dise, il serait bon que cette pratique cesse en effet. Pour moi elle est comparable au crédit révolving.