Il serait temps. Et si elle ose, elle pourrait aussi relancer la question du prix à l'achat d'une chanson (aucune raison qu'il soit le meme que pour un CD acheté à la Fnac), voire - soyons fous - , celle de la marge des majors et des distributeurs (qui n'est moins que jamais justifiée par un prix de revient), voire - soyons utopiste - , de re-poser clairement ce que signifie etre propriétaire de ce qu'on achète ( = pouvoir prêter, transmettre, donner, revendre, écouter/lire/regarder/utiliser où et comme on veut) et être propriétaire de droits (quand on n'est plus l'auteur vivant mais l'éditeur jouissant d'une exclusivité parfois re-prolongée).