L'offre massive n'est pas encore lancée, pas de SAV ni de contrat spécifique : c'est de l'expérimental qui donne des résultats meilleurs que prévu, mais sans autre utilité que de charger des distributions Linux, pas vraiment un usage courant! Le nombre de clients est à peu près de 10.000, contre environ 20.000 à SFR, 80.000 à Orange et 240.000 à Numericable (qui n'a pas la même technologie, mais cela ne change rien pour les clients). Chaque opérateur déploie son propre réseau sauf en cas de délégation de service public, il existe donc des quartiers où tous sont présents et d'autres où un seul tente de s'imposer.
A Paris, c'est en gros le 15è, le 20è, le 11è où sont constatées des connexions. En province c'est un quartier de Montpellier, un autre de Villeurbanne. Les autres sites en cours d'équipement sont Valenciennes et des communes de l'ouest parisien. Free déploie son réseau seul et pour le moment refuse systématiquement de participer à des opérations conjointes avec les collectivités locales et d'autres opérateurs. Comme ce type de connexions ear majoritaire, Free ne pourra pas continuer au risque de perdre la majorité de ses clients en zone urbaine.
De toutes façons, c'est au conseil syndical de l'immeuble de choisir un opérateur à proposer à l'AG annuelle : si tu es en immeuble collectif, c'est donc soit la régie soit le conseil syndical à qui tu dois t'adresser pour savoir où en sont les choses, dans la mesure où un opérateur est candidat.
Pour la quasi-totalité des co-propriétés, la question cosniste à savoir ce que l''opérateur d'immeuble choisi ganratit comme SAV à ses clients mais surtout aux autres, clients de ses concurrents. Or ceci n'est pas encore défini, donc il faut patienter : c'est prévu, mais on ne doit pas choisir à l'aveugle.