Quel tapage! depuis une semaine, c'est un peu "la chronique d'une mort annoncée".
Depuis le temps que Free annonce la baisse drastique du tarif de la téléphonie mobile, qu'ont fait les entités déjà en place, " RIEN". Ils sont restés , là, dans l'attente confortable de leur position dominante et d'ententes illicites.
Sans innover, dans un immobilisme incrédule, les temps ont changés. Alors maintenant ils se réveillent, parce qu'il ont reçus une gifle, méritée, ils médisent, se plaignent, pleurnichent dans les jupes de leur mère comme des gamins vexés par cette correction.
Bien que, ces enseignes, ont des bureaux d'études de marchés, des analystes, des financiers, des commerciaux, toute une logistique.
Aucun d'eux n'a, par sa position dominante ou du moins par le fait d'êtres déjà en place avec une clientèle en main, essayer de contre-carrer le nouvel arrivant en proposant des offres qui auraient changées la donne, préférant, faire du profit immédiat plutôt que pérenne.
Les compteurs de texto, qu'ils ont pompeusement installés devant le siège de leur entreprise, égrainent maintenant, non plus les sms émis mais les clients partis.
Aussi maintenant essayent-il de se raccrocher aux branches de leurs antennes obsolètes afin de ne pas sombrer dans les remous du sillage de la fusée qu'il voulaient ne pas voir décollée.
Toutes les révolutions ont commencées par des insatisfactions individuelles qui se sont rejointes puis ont étaient revendiquées, poliment, docilement, exaspérément, puis vient le temps de l'action, le soulèvement.