Quelques message plus haut je vous rappelais la façon de proceder des industriel et societes phonographiques (lancer un produit puis attendre qu'il soit bien implanter pour demander une redevance dessus)
et bien Philipps (encore lui) remet ça.
Philipps etant proprietair du brevet sur le format de compression JPEG decide de porter plainte contre des industriels pour recuperer une redevance sur l'utilisation de ce format.
Bien que celà ne soit pas la même procedure que ce que je disais sur la redevance sur les supports audios, et que je consoive que l'on soit remuneré pour l'utilisation d'un brevet dont on est proprietair, il n'est pas normal d'attendre des années, que ce format soit devenu un standard, pour venir demander une remuneration.
Soit on fait valoir ces droit tout de suite ou à breve echeances, soit on abandonne ces droits.
lien de l'info : http://actu.pcastuces.com/afficheactu.asp?Id=1525
Salut !
Je comprends que la démarche puisse te choquer mais on ne peut par avance renoncer définitevemnt à faire valoir ses droits.
Alors même si ce parallèle n'est pas forçément très pertinent, c'est un peu comme si toi, en tant que salarié, tu réclamais, après un hypothétique licenciement, un important rappel de salaire au titre d'heures supplémentaires et autres primes non payées.
Comme la loi t'y autorises tu peux remonter jusqu'à 5 ans en arrière.
Et pour gonfler un peu plus la note, tu décides également de réclamer un rattrapage sur l'évolution dont tu n'as pas bénéficié en raison d'une quelconque discrimination.
Là tu peux même remonter jusqu'à 30 ans en arrière.
Tu vas me dire quel est le lien.
C'est simple : la réponse !
Si on applique ta remarque à ce cas de figure imaginaire ça donnerait :
"Tu n'as rien dit jusqu'à présent donc tu as renoncé à faire valoir tes droits."
Cela dit je pense que si Philipps a tacitement consenti l'exploitation par des tiers de son brevet c'est simplement pour faire peser sur les autres le risque commercial.
Une des réponses possibles serait l'abandon pure et simple de l'exploitation du brevet.
Voilou.