Bon, sur la fin de l'entretien... il va mettre où son argent finalement Niel ? parce qu'il en a (et c'est très bien).
Il a une somme d'argent qu'il ne peut utiliser qu'en investissant d'une manière ou d'une autre (ou en consommant, mais là je dirais que c'est son problème, c'est déjà taxé... etc.), ainsi qu'une somme d'argent à venir par rapport à des dividendes, quand bien même une partie serait confisquée. C'est à dire qu'il a apparemment un problème qui est de trouver où mettre son argent, qui grossit de plus en plus. Ce serait ça la question à lui poser.
Imaginons que la réponse soit qu'il va investir à l'étranger, bon, ok, il va se retrouver à gagner éventuellement encore plus d'argent, son problème ne disparait absolument pas. Son problème disparaitrait uniquement s'il investissait dans des projets perdus d'avance (comme la dizaine de milliards de dettes du Real Madrid avec ses vedettes par exemple s'il aime le foot, pourtant en partie effacée par l'état espagnol, plutôt en forme c'est certain), mais ça ne servirait pas à grand chose.
Donc il fait vivre l'économie en investissant et en ré-investissant... d'une certaine manière il investit dans sa capacité à garder ou à augmenter les moyens d'investir. Or la situation est ce qu'elle est, la capacité d'investissement est justement en cause (de ce que j'ai compris).
L'autre idée, mais bon, c'est lui qui voit, c'est de toucher moins de dividendes. Il parle des autres gros opérateurs qui distribuent aussi des dividendes, mais il en touche aussi.
Enfin c'est pas une attaque hein, c'est juste que je ne vois pas de logique dans ce qu'il dit, j'entends un argumentaire qui ne soutient aucune thèse quelque part.