Ce qui prouve que si BT a été le plus rapide à obtempérer, ils ne se conforment pas au jugement qui demandait de « prendre toutes mesures de nature à permettre l’arrêt de l’accès au service en cause, soit toute mesure de filtrage, pouvant être obtenu (...) par blocage du nom de domaine, de l’adresse IP connue, de l’URL, ou par analyse du contenu des messages, mises en oeuvre alternativement ou éventuellement concomitamment, de manière à ce qu’elles soient suivies de l’effet escompté sur le territoire français »
Après cela ne concerne peut-être pas .be et .ch ...