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[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« le: 24 July 2005 13:34:51 »
   
   Le NRA BON13 (Bonneveine - Marseille) connait un
week-end animé puisque son troisième dslam,
Monsieur BON13-3 (213.228.20.54) a
connu ses premières connexions hier.

Rappelons nous que sa déclaration
date du 8 juin, et son activation
du 22.
Il aura donc fallu un mois pour passer de l'activation aux
premières connexions.



Lire l'intégralité de la news

jacques

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #1 le: 25 July 2005 06:27:58 »
Commentaire lamentable.

Chrix

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #2 le: 25 July 2005 07:03:28 »
En réponse à jacques.
 
Citer
Si vous êtes blonde à forte poitrine, ca m'intéresse aussi !

vachefolle

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #3 le: 25 July 2005 09:11:25 »

Désolé,
Mon humour devait être en week-end...
D'un autre côté, y en a d'autres que ça a du faire rire...
L'humour n'est jamais unanime.  


lololesk8er

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #4 le: 25 July 2005 09:22:59 »
Alala il y en a qui ne savent pas rire
Un brin d'humour ne fait jamais de mal!
De plus il n'y a rien de méchant dans cette phrase.
 J'en redemande

jacques

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #5 le: 25 July 2005 21:52:37 »
L'humour à la Bigard je m'en passe.
Je sais c'est les inconnus... mais sortit du contexte ça fait rire les idiots.

vachefolle

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #6 le: 26 July 2005 07:57:06 »
 C'est Elie Semoun... dans les petites annonces...


jacques

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #7 le: 26 July 2005 11:24:31 »

Meuh non !
Les premiers a avoir fait ce calembour c'est les inconnus.

jacques

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #8 le: 26 July 2005 13:36:29 »
Le chêne un jour dit au roseau :
"Vous avez bien sujet d'accuser la nature ;
Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ;
            Le moindre vent qui d'aventure
            Fait rider la face de l'eau,
            Vous oblige à baisser la tête.
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d'arrêter les rayons du soleil,
            Brave l'effort de la tempête.
Tout vous est aquilon ; tout me semble zéphyr.
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage
            Dont je couvre le voisinage,
            Vous n'auriez pas tant à souffrir :
            Je vous défendrai de l'orage ;
            Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.
- Votre compassion, lui répondit l'arbuste,
Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci :
        Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ;
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici
            Contre leurs coups épouvantables
            Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin." Comme il disait ces mots,
Du bout de l'horizon accourt avec furie
            Le plus terrible des enfants
Que le nord eût porté jusque là dans ses flancs.
            L'arbre tient bon ; le roseau plie.
            Le vent redouble ses efforts,
            Et fait si bien qu'il déracine
Celui de qui la tête au ciel était voisine,
Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.

Une autre ?

Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde
On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
De cette vérité deux fables feront foi,
            Tant la chose en preuves abonde.
 
            Entre les pattes d'un lion
Un rat sortit de terre assez à l'étourdie.
Le roi des animaux, en cette occasion,
Montra ce qu'il était et lui donna la vie .
            Ce bienfait ne fut pas perdu.
            Quelqu'un aurait-il jamais cru
            Qu'un lion d'un rat eût affaire ?
Cependant il avint qu'au sortir des forêts
           Ce lion fut pris dans des rets,
Dont ses rugissements ne le purent défaire.
Sire rat accourut, et fit tant par ses dents
Qu'une maille rongée emporta tout l'ouvrage.
 

           Patience et longueur de temps
           Font plus que force ni que rage.

Encore ?

La cigale , ayant chanté
                Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau  
Elle alla crier famine
Chez la fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle
«Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'oût , foi d'animal,
Intérêt et principal .»
La fourmi n'est pas prêteuse ;
C'est là son moindre défaut.
«Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
        - Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien : dansez maintenant.»

Giraya

[PACA] Week-end connecté sur Bonneveine
« Réponse #9 le: 01 August 2005 14:33:49 »

C'est la fête dites-moi pendant les vacances
Il doit rester encore assez de place sur le serveur pour mettre en commentaire toute l'encyclopédie universalis.
Tous les goûts sont dans la nature, non ?
Restons zen