Etonnant, ce besoin en France de vouloir tout soumettre, et donc la langue, a une autorité plénipotentiaire ! En quoi le fait qu'un nouveau terme apparaisse dans le Robert "autorise" à l'utiliser "à partir du 1er janvier prochain"

Quid du Larousse alors ? et du Littré ? Quel sacro-saint traitement appliquer alors au dictionnaire de l'Académie Française et ses airs d'Arlésienne ? Et les Québécois, comment font-ils ?
Tout cela pour dire que la langue est un outil qui appartient à ceux qui l'utilisent, dans le but de se comprendre. Libre aux mêmes de jouer avec, s'en amuser, la détourner, etc. Il y a des règles, mais
in fine c'est toujours l'usage qui a raison. La meilleure preuve en est avec ces ajouts, auxquels seul l'usage a donné droit de cité.