Les deux qui semblent aujourd'hui avoir le plus besoin de passer à trois opérateurs sont Sfr et Orange.
Alors, quoi de mieux qu'une campagne présidentielle pour de grandes manoeuvres ?
Entre Sfr qui voit le nombre de ses clients fondre comme neige au soleil et Orange qui voit la manne de l'itinérance se réduire comme peau de chagrin, on imagine leurs motivations.
D'autant que Sfr a atteint un tel taux d'endettement, que Drahi pense tenir les banques et l'État. Le chantage à l'emploi a encore un bel avenir.
Sauf que le père prétend ne plus vouloir marier sa fille, mais au contraire étendre son domaine.
Quant à l'intérêt de Free, pour tout ou partie, de la dot la mariée, il diminue mécaniquement à mesure du temps qui passe.
On va avoir droit à notre petite intox hebdomadaire pendant encore un bon moment.