L'enregistrement directement en avi n'est techniquement pas très viable: le format comporte des données globales à la fin du fichier: en cas de rupture de l'enregistrement (crash ou autre manière brutale), l'absence de ces données rend le fichier inexploitable.
Je ne dis pas que c'est impossible, juste que c'est comme écrire un livre page par page avec une table des matière à la fin (et qu'on veut la maintenir en permanence à jour): pour être sûr d'avoir un ouvrage toujours exploitable, il faut anticiper le flux (mais la compression est variable, donc même avec une idée de la durée, on ne peut pas prédire le volume exact) et à chaque fois qu'on va atteindre le bloc de fin, il faut le redéplacer plus loin... ce qui se traduira par des sauts de la tête du disque dur, des allocations de blocs par à coups... et donc potentiellement des pertes de données.
L'enregistrement d'un flux est beaucoup plus simple, car même si il est de taille inconnu, on écrit qu'à un seul endroit, sans faire de saut.
Si ça doit absolument devenir un AVI, alors la conversion après capture est la meilleure voie.