Sauveur de nos libertés, hum! Mais....
Je salue, moi aussi le refus de free de se commettre avec cette autorité bidon, issue de la volonté stupide de museler internet.
Faut croire que les bonnes heures de la collaboration reviennent au goût du jour, un mal franco-français.
Si l'intention de free était de se faire de la pub facilement, je salue chez lui, surtout, la nécessité de se démarquer des autres FAI qui ont foncé tête baissée dans la balance de leurs clients.
Les juristes de free sont soit meilleurs que ceux des autres FAI, soit les autres FAI ne se sont pas embarrassés de l'éthique.