Le problème soulevé va plus loin. On tombe effectivement dans le travers de la communication publicitaire.
En terme crus, on arrive aux limites du "jeu de cons" des "experts" en communication. (Pour Free, c'est pas gagné!)
Où Odebi n'a pas tort, c'est dans le fait que le consommateur "lambda" pourrait être lésé. Et quand on sait que tout ce qui est "technique" n'est pas la tasse de thé du consommateur français moyen, le risque est réel.
Il faut aussi ne pas prendre non plus le consommateur moyen pour le dernier des crétins; avant de "plonger", il lui arrive tout de même de "causer" avec son entourage.
Et puis, le "débit", est-ce que c'est le souci majeur du consommateur moyen?
Je ne le pense pas. Ce qui intéresse le "lambda", c'est plutôt les services que va lui apporter sa liaison ADSL.
Et entre autres, le consommateur moyen, il ne voit qu'une chose: L'ADSL, celà vient par sa ligne téléphonique.
Et comme on l'a habitué à ce que ce qui était connecté sur sa ligne téléphonique fonctionne 24h/24 sans problème, il va attendre que le ou les nouveaux nouveau services qui viennent par le même "tuyau" aient les mêmes qualités et la même stabilité.
Là, ce n'est pas joué non plus!
La problématique pour les opérateurs/providers est là: Au fur et à mesure que le consommateur d'ADSL est de plus en plus un consommateur "lambda", la communication ne suffira plus à traiter les problèmes, mais bien la qualité et la fiablité des services proposés qui devra s'imposer.
Deux autres support modernes de diffusion et communication en sont passés par là: La TV par satellite et la téléphonie mobile. Même si ces médias ne sont pas encore parfaits, il a bien fallu tout de même arriver à des niveaux de qualité et fiablité raisonnables, pour que ces médias soient pérennes.