Numéricable (comme le Vivendi de Messier, et bien d'autres), c'est un château de cartes bâti sur du sable, une dette démesurée.
À la moindre bourrasque, tout s'effondrera.
Comme d'habitude, les salariés seront les premières victimes, suivis des sous traitants et de leurs personnels. Et vu la taille du monstre, pour limiter les dégâts collatéraux l'État (donc notre poche) devra encore faire le pompier.
Mais comme on se refuse toujours d'apprendre de l'Histoire, on jurera une fois de plus, la main sur le cœur que l'on ne savait pas et que l'on à rien vu venir.
Drahi et ses complices, eux, le magot dans des paradis fiscaux, se la couleront douce au soleil.