Sans emploi direct... vite dit. Dans ces 800 familles, combien de nourrissons et autres qui vont avoir besoin de nounous ? C'est de l'emploi "précaire" (quelques années par famille), mais c'est de l'emploi. Mais sans pas-de-porte.
Et les écoles, même dans une cité dortoir, elles vont quand même avoir des classes en plus, donc des profs en plus.
Et si les commerces de proximité ne sont pas exorbitants, ça fera des ventes en plus... et auront l'opportunité d'engager un peu de monde.
Je ne parle même pas des crèches qu'il faudrait ouvrir et surveiller.
Les villes pleurent quand un régiment de parachutistes (ou autre) s'en va de chez elles, là c'est quasiment 2 ou 3 régiments qu'on leur propose d'ajouter, et ça chouine. Gouverner, c'est prévoir, mais j'ai l'impression que les politiques d'aujourd'hui c'est surtout le show-biz et pas la mise en place de synergie (sans faire suer les premiers acteurs en leur demandant de modifier, et surtout rallonger la facture à leur charge). Mais c'est sûr que 800 familles, c'est un coup à déstabiliser les prochaines élections municipales. Et ça, les parties, ils n'aiment pas.