Quelle bande d'imbéciles, alors que si lutte anti-piratage, la seule approche valide est :
1) concentrée sur les centres et non utilisateurs finaux (il y a toujours des centres du fait du besoin de catalogues, "peer to peer" aussi vaste hypocrisie dans les termes et tout le monde le sait)
2) Aucun besoin de monitorer/superviser les flux utilisateurs finaux.
3) besoin de procédures légales et publiques pour le filtrage/blocage des sites:
http://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/piratage-hadopi-etcFaut-t-il comprendre que justement le but est de monitorer/superviser les flux utilisateurs ?
Ou est-ce juste la niaiserie ou veulerie classique consistant à associer le terme virtuel à internet et compagnie ?
La priorité devrait être aussi la mise en place d'une vrai alternative non monopolistique de publication sur internet avec achat à l’œuvre offrant une vraie plus value à acheter par rapport à pirater (j'ai acheté ça ça marche et puis c'est tout, je ne m'occupe d'aucun fichier, copies, backups, etc, concept atawad), ce qui quoi qu'on en dise à plus ou autant à voir avec le besoin d'une nouvelle fonction et séparation des rôles qu'avec des questions techniques :
http://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/concepts-economie-numerique-draft/Sans oublier que ces histoires de neutralité du net, cela a aussi commencé sur la problématique "partage des revenus (surtout publicitaires) issus d'internet(en "général")" il y a quelque années, typiquement entre Google et les telcos US, Google menaçant alors (ou le faisant) de construire son propre backbone, les telcos réclamant une part des revenus (et certes Google sans réseau ne marcherait pas très bien). Problématique différente s'il en est, ne pas tout mélanger non plus.
Mais bon, pas fini cette affaire, et croire défendre les citoyens quand d'une part on ne laisse que le monitoring flux utilisateurs comme voie légale, et que d'autre part on favorise deux ou trois monstres sur la diffusion légale, en étouffant plus ou moins toute vraie nouveauté, il y a vraiment de quoi hurler de rire, si ça n'était pas si pathétique..
Rappelons aussi qu'au XVII XVIII quasiment rien n'empéchait les "libraires/imprimeurs" de copier les livres, et que les droits d'auteurs ont été mis en place à la révolution Française, à ce sujet :
http://iiscn.wordpress.com/2011/06/07/diderot-lettre-sur-le-commerce-des-livres/